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Une visite attendue depuis longtemps…

Jeudi 03 juin, les élèves de 3ème Fert et du jury littéraire ont rencontré l’auteur Sarah Cohen-Scali.

Jeudi 03 juin, les élèves de 3ème Fert et du jury littéraire ont rencontré l’auteur Sarah Cohen-Scali.

Avec les 3èmes – en présence de Mme Frémaux – il était question du roman historique Max ; quant aux membres du jury, ils ont débattu avec Mme Cohen-Scali – accompagnés de Mmes Marteville et Dubois – d’un corpus de ses livres : Le Voleur de FeuMauvais SangConnexions DangereusesGingo.

Les deux séances d’entretien se sont bien passées, au point que tous ont regretté qu’elles soient trop brèves : une heure pour poser toutes les questions, ce n’était pas suffisant. Sarah Cohen-Scali a quand-même eu le temps de dédicacer les livres apportés par les élèves. Auteur et élèves ont semblé satisfaits d’une rencontre qui s’est enfin réalisée après une annulation, l’an dernier, pour cause de covid.

Voici quelques témoignages d’élèves sur cet entretien.

« J’ai apprécié la présence de Sarah Cohen-Scali, le jeudi 3 juin à 13H 30. Elle explique un peu comment elle fait pour créer son livre. On a rencontré Sarah, parce qu’on a étudié son livre Max qui était un peu difficile à comprendre, surtout la fin. Elle était très contente de venir nous présenter son livre, elle nous a très bien parlé ; elle a répondu à quelques questions que les élèves posaient. On avait préparé ces questions.

Tout le monde n’a pas pu poser sa question car on n’avait pas beaucoup de temps : une heure et avec elle, c’est passé très vite. Elle répondait sérieusement aux questions. Après la sonnerie, elle nous a accordé une dédicace.

Elle nous a dit qu’elle mettait du temps à créer un livre : au moins deux ou trois ans. Elle a écrit une cinquantaine de livres et ses livres se sont bien vendus. »

Annaëlle

« Pour écrire le livre « Max », une personne est venue voir Sarah Cohen Scali, pour qu’elle écrive un livre sur un fait historique. Elle a trouvé sur la 2ème guerre mondiale et pour que ce soit original elle a fait parler un fœtus. Sarah Cohen Scali nous a dit qu’elle a fait plus d’un an de recherches pour écrire le livre Max. On a appris des choses sur le Lebensborn et sur les Napolas. Sarah Cohen Scali nous a dit qu’elle aimait les romans policiers. On a fini sur une séance de dédicace. Je n’ai pas trop aimé car il faisait chaud et on n’a pas eu assez de temps pour poser toute les questions. »

Louis

« Le jeudi 03 Juin 2021, nous avons eu la chance de rencontrer une auteure qui s’appelle Sarah Cohen-Scali, qui a écrit le livre Max. J’ai trouvé ça très intéressant. Nous avons eu la chance de lui poser des questions à propos de son livre. Moi je lui ai posé la question suivante qui était : ce livre était-il difficile à écrire ? Elle m’a répondu que oui, il était difficile à écrire mais qu’une fois qu’elle avait trouvé son point de vue, c’est devenu très facile. J’ai trouvé ça très impressionnant d’être face à une auteure, elle nous a aussi apporté de la culture. Ce que j’entends par là, c’est qu’elle nous a parlé de l’Allemagne Nazie, nous a dit que les enfants se faisaient kidnapper et que si les enfants ne convenaient pas, ils les tuaient, que tout ça était caché, qu’à la fin de la guerre, tout était brûlé, il n’y avait plus de traces. Les enfant étaient soit récupérés dans leur famille ou allaient dans un foyer. A la fin, nous avons eu la chance d’avoir une dédicace de Sarah Cohen Scali. »

Chloé

« Nous avons rencontré Sarah Cohen-Scali, l’autrice du roman Max, que nous avons lu en classe. Ce livre parle de la seconde guerre mondiale, plus précisément côté nazi. Sarah Cohen-Scali nous a raconté qu’elle avait fait plusieurs recherchesur l’histoire des enfants nazi(Lebensborn, Napola, ect.) durant trois ans avant de commencer à écrire ce roman. Ce livre est donc écrit à partir de faitréels. Elle nous a aussi avoué que les éditeurs lui avaient demandé de faire un tableau avec les faitréelet les faitinventés… elle n’a pas satisfait leur demande.

Elle a aussi expliqué qu’elle ne recherchait pas le scandale avec la couverture du roman (fœtus nazi) mais à attirer des lecteursA la fin de cette interview, Sarah Cohen-Scali a dédicacé le roman Max, que le collège nous a offert.

J’ai bien aimé cette interview avec l’autrice de ce roman, que j’ai particulièrement bien aimé mais je trouve dommage que nous n’ayons eu pas plus de temps pour poser toutes nos questions. »

Corentin

« On a posé des questions pendant une heure ; c’était long car elle de très longues réponses et en plus, il faisait assez chaud ! J’ai quand même le sentiment d’avoir appris des choses intéressantes ; elle a répondu à la moitié des questions ; j’ai apprécié son vocabulaire. »

Guillaume

« Nous avons eu la chance de rencontrer l’auteur du livre Max, Sarah Cohen-Scali. L’entrevue s’est déroulée en salle polyvalente, nous lui avons posé des questions auxquelles elle a répondu. C’était très intéressant d’avoir le point de vue de l’auteur par rapport à son livre. Étonnamment, elle passe plus de temps sur les recherches et les préparations que sur l’écriture de son livre. Elle nous a appris certaines choses sur le programme « Lebensborn ». Elle a écrit son livre au fur et à mesure que les idées lui venaient et pourtant l’histoire est particulièrement bien structurée. Elle aime les romans policiers et noirs, elle ne se qualifie plus vraiment comme une autrice de la jeunesse. Max est le premier roman historique quelle a écrit, elle était donc au départ très peu confiante par rapport à l’avenir de cette histoire qui a, malgré tout, eu un grand succès.

Je lui ai demandé si elle avait recherché le scandale en écrivant Max. Elle m’a répondu que ce n’était pas ce qui avait été recherché ici : la violence et les actes de cruauté représentés ne sont pas là pour provoquer ou quoi que ce soit d’autre, ils sont ici car tout ce qu’elle raconte sur le troisième Reich est vrai. Et pour le fait que l’on puisse naître nazi, eh bien, c’est ce quelle voulait monter, que les enfants nés en Allemagne, lors de cette période, étaient très rapidement incités à devenir de parfaits petits nazis. »

Moussa

« Le 03/06/2021, nous avons rencontré Sarah Cohen-Scali, une écrivaine française qui a écrit un roman appelé Max, un livre intéressant et qui interpelle ; il raconte une histoire historique.

On a pu lui poser des questions. Je lui ai demandé pourquoi avoir choisi un fœtus. Elle a répondu, qu’au début, elle avait du mal à écrire, car elle pensait qu’elle n’était pas assez informée sur ce sujet mais après 3 ans de recherches, elle avait appris un tas de choses. Sarah Cohen-Scali a pris comme narrateur un fœtus pour expliquer qu’à cette époque c’était comme si on naissait nazi. Puis elle voulait que ses lecteurs soient un peu plus touchés en utilisant un enfant qui grandit dans cet environnement. Elle nous a informé que 95 % des choses qu’elle a écrites sont vaies.

La rencontre avec Sarah Cohen-Scali m’a beaucoup plu ; je trouvais ça intéressant ; j’ai adoré son livre, il était vraiment intéressant. A première vue, je l’ai trouvée grande dame, jolie, polie, puis intéressante, mais j’ai trouvé ça court. A la fin de l’heure, on a pu avoir une dédicace. »

Nadia

« J’ai bien aimé la rencontre avec Sarah Cohen-Scali. On a pu lui poser des questions sur son livre Max. Elle nous a expliqué qu’elle écrivait avant tout pour elle. Qu’elle avait dû faire beaucoup de recherches avant de pouvoir écrire ce livre. Elle a mis 3 ans pour avoir assez d’informations et commencer la rédaction de son livre. Elle nous a très bien expliqué comment elle a inventé cette histoire. A la fin elle nous a signé des dédicaces.

Malheureusement, j’aurais aimé que ça dure plus longtemps, qu’on puisse lui poser plus de questions. Mais j’ai quand même aimé et j’espère qu’on pourra rencontrer d’autres auteurs. Et pour les plus jeunes, j’espère qu’elle pourra revenir et qu’ils pourront la rencontrer.

Je lui ai posé la question : « Pourquoi faire réapparaître la mère de Max à la fin ? » Elle m’a répondu qu’au début elle n’avait pas prévu que ce soit la mère de Max. Mais qu’elle s’est dit que cette belle femme pouvait être sa mère. »

Opaline

« Sarah Cohen Scali est une écrivaine. Elle a écrit le livre Max que nous avons étudié en classe.

Mon impression sur Sarah Cohen-Scali est que je l’ai trouvée très sympa, elle a été très gentille. Le jour où on l’a rencontrée, j’ai bien aimé. On avait fait une fiche de questions en classe pour lui poser. On n’a pas pu lui poser toutes les questions à cause du temps, mais elle a répondu à toutes les questions que nous avons pu lui poser. Elle avait de longues réponses. A la fin de l’heure, elle nous a fait un autographe dans notre livre Max. »

Priscilla

« Pendant l’entrevue avec Sarah Cohen-Scali, nous lui avons posé des questions sur sa vie et sur les livres qu’elle a écrits, précisément sur le livre « Max ». C’était intéressant car on a pu voir le point de vue de l’auteur et rencontrer un auteur assez connu. Et puis on a appris beaucoup de choses sur elle et sur l’Allemagne nazie, les enfants en Norvége qui se faisaient persécuter. Et je suis content parce qu’elle a fait une dédicace.

Mais ce qui était ennuyeux, c’est qu’elle parlait beaucoup, qu’il faisait chaud… donc du mal à se concentrer et nous n’avons pas eu le temps de poser toutes les questions. »

Théo

« Nous avons rencontré Sarah Cohen-Scali pour lui poser des questions, nous lui avons posé quelques questions car elle ne pouvait pas répondre à toutes : elle donnait des reponses longues et detaillées.

J’ai bien aimé car c’était très instructif ; elle nous a raconté un peu l’histoire qu’on a lue en classe pour apprendre un peu plus sur cette oeuvre.

Elle nous a parlé d’autres de ses livres et elle a dit que c’etait la seule histoire qui était developpée comme celle-là. »

Warick

« J’ai bien aimé faire la rencontre de Sarah Cohen-Scali, l’auteure de du livre Max. J’ai trouvé cela intéressant de voir le point de vue de l’auteure vis à vis de son livre, d’apprendre que les évènements qui se déroulent dans le livre sont basés sur des faits réels.

J’ai appris que Sarah Cohen-Scali ne cherchait pas le scandale en faisant d’un fœtus un nazi, et qu’il lui a fallu trois ans de recherche avant qu’elle ait les connaissances nécessaires pour développer son histoire, qu’elle a failli laisser tomber l’écriture de son livre, qui, au départ, devait parler d’un homme qui découvrait qu’il était adopté et dont les parents biologiques étaient nazis.

J’ai aussi découvert qu’elle a eu beaucoup de mal à faire éditer son livre à cause de son contenu et que c’était un éditeur qui lui avait conseillé d’écrire un roman historique. J’ai également apprécié la séance de dédicace. »

Zoé


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