Pauvre Antoine Doinel !

	Les élèves de 6ème et 5ème sont allés au centre culturel d’Hautmont pour voir le célèbre film de François Truffaut, Les Quatre cents coups. Voici leur analyse de ce chef d’oeuvre du 7ème art.

Nous avons regardé un film de François Truffaut intitulé « Les quatre cents coups », dont le titre est une hyperbole (une exagération).

Cette œuvre raconte l’histoire d’un garçon qui se nomme Antoine Doinel. C’est lui qui va faire « les quatre cents coups » : il écrit sur les murs de sa classe, il fugue, il provoque un début d’incendie dans son appartement, il vole une machine à écrire. Il finit par être placé dans un centre de correction. Le film s’achève au moment où Antoine s’enfuit pour réaliser son rêve : voir la mer. A la dernière image, il nous fixe du regard, ce qui, normalement, ne se fait pas au cinéma. Pour la scène finale, le réalisateur a utilisé un travelling (la caméra se déplace parallèlement au personnage qui court).

Les raisons qui expliquent son comportement sont le fait que sa mère ne l’ait pas désiré et que son père n’est que son parâtre (son beau-père). Il manque d’affection et veut se faire remarquer par ses parents car ceux-ci ne lui donnent pas assez d’amour. François Truffaut raconte son enfance à travers ce film : c’est une œuvre autobiographique.

Ce film a été tourné en 1959 ; on le voit aux images en noir et blanc, aux vêtements et aux décors.

Les classes de 5ème Arthaud et Estanguet

Le film que nous avons regardé ne m’a pas plu car Antoine se fait maltraiter et puis ses parents ne s’occupent pas de lui : il a une chambre dans le couloir, un lit en bois, un pyjama troué et ses parents prévoient de ne pas le prendre avec eux pendant les vacances et de le mettre en colonie de vacances, là où il y a des règles strictes.

Antoine fait beaucoup de bêtises comme sécher les cours et le lendemain il dit que si il n’est pas venu, c’est parce que sa mère est décédée.

Et enfin la fin du film est étrange car il court pendant longtemps et puis il s’arrête et nous regarde… Drôle de fin !

Daphnée

Je n’ai pas aimé ce film parce que je n’aime pas vraiment les films en noir et blanc et je n’ai pas apprécié l’histoire… en plus elle était un peu bizarre, parce que ce n’est pas souvent que l’on voit un petit garçon fumer.

Le seul moment que j’ai bien aimé c’était quand Antoine dit comme excuse que sa mère est morte et après celle-ci arrive parce qu’il avait séché les cours.

Ilyès

J’ai bien aimé le film les quatre cents coups, car c’est un film qui nous dit de ne pas faire de bêtises.

Le personnage principal, Antoine, est un garçon dont les parents ne sont pas affectueux. Donc la journée, Antoine s’ennuie et fait des bêtises, il vole ses parents, fugue, sèche les cours, ment en disant à son professeur que sa mère est décédé. Nous pouvons remarquer que le personnage principal, ne vit pas dans de bonnes conditions car sa chemise est trouée, il dort sur une planche de bois et n’a pas de chambre appropriée.

Le film a été réalisé en 1959 par François Truffaut. Le réalisateur a confirmé qu’il s’était inspiré de sa jeunesse et qu’il avait réalisé un film autobiographique.

Maëlis

Je n’ai pas aimé parce qu’il vole une machine à écrire et de l’argent à sa grand-mère. J’ai aimé quand il a voulu devenir écrivain et qu’il réalisait sont rêve le plus fou en allant à la plage.

Nicolas

Nous avons été au cinéma avec des classes de 5ème et de 6ème. Le film s’appelle les quatre cents coups. L’enfant qui fait les quatre cents coups s’appelle Antoine Doinel. Le réalisateur s’appelle François Truffaut. Le film est fait en 1959, le film était en noir et blanc. Le film parle d’un enfant qui fait des bêtises. Il fugue toute la journée pour ne pas aller à l’école et il voit sa mère embraser un autre homme que son père. Il part alors en courant avec son copain. Le lendemain, l’enfant va à l’école et il dit à son professeur principal : « Ma mère est morte ! » Du coup le professeur a cru à son mensonge. Après sa mère et son père arrivent à l’école et ce dernier lui met une claque en pleine tête…

Nolan

Notre classe et moi nous sommes partis au cinéma au Paradiso à Hautmont pour regarder un film « Les Quatre Cents Coups » qui date de 1959, donc il y a longtemps !

J’aime le film, il est assez bien. J’aime le titre qui signifie faire plein de bêtises comme avoir volé de l’argent à presque toute sa famille, avoir menti à son professeur disant que sa mère était morte, comme avoir mis une bougie sur une caisse près de son idole ce qui fait que la caisse a brûlé. Il a séché les cours et a appris que sa mère trompait son beau père. Celui-ci en a eu assez de toutes les bêtises de son beau fils, il a donc décidé de le placer dans une maison de correction.

Zina